Les Villes invisibles, radiographies gravées et caissons lumineux, 2013, dimensions variables

Il est intriguant de noter à quel point le vocabulaire biologique entre en résonance avec celui de l’urbanisme, qui exprime ses analyses en terme d’articulations, de fractures, de croissances, de flux et de circulations. Le rapprochement entre le tracé des cartes gravées à la pointe sèche et les formes morphologiques des clichés radiographiques invite ici à opérer un déplacement entre l’intérieur et l’extérieur du corps.